lundi 13 octobre 2008

L'Histoire de l'Olympique Lyonnais


Avec sept titres de Champion de France consécutifs (record français et parmi les championnats européens majeurs[2]) entre 2002 et 2008, la section masculine de l'OL, plus connue, est l'un des clubs les plus titrés de France. La section féminine du club quant à elle, a en outre remporté six fois le championnat féminin (dont 4 fois sous le nom du FC Lyon).

Sur le plan international, le club participe régulièrement aux coupes européennes, et était notamment membre du G14, organisation des clubs les plus importants et riches d'Europe, avant sa dissolution en janvier 2008. Jean-Michel Aulas en était son président.

En 2007, pour la première fois l'équipe championne de L1 masculine était la même que l'équipe victorieuse de Division 1 féminine. Le club réalisa ainsi un doublé filles-garçons inédit qui a également été rééditée en 2008.

En cette année 2008, l'Olympique lyonnais rentre même un peu plus dans l'histoire en remportant son premier doublé Championnat de France-Coupe de France en battant le Paris-SG avec un but de Sidney Govou, les féminines ont également réalisée le même exploit en étant championnes de France et vainqueures du Challenge de France. Cette année fut marquée aussi par une révolution au poste d'entraineur, avec le limogeage d'Alain Perrin et de son remplacement par Claude Puel qui vit ses fonctions élargies à un rôle de manager général, s'occupant d'avantage des secteurs habituellement réservés au tandem Aulas-Lacombe.

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Les débuts du club [modifier]

Le « Lyon Olympique », club omnisports fondé en 1896 sous le nom de Racing Club de Lyon, se dota d'une section football en 1899. Premier club du Lyonnais qualifié en phases finales du championnat de France de football USFSA (1906), il affronta l'Olympique de Marseille en huitièmes de finale. Après un match nul 2-2, les lyonnais ne se rendirent pas à Marseille pour rejouer la rencontre.

Éclipsé par le FC Lyon en 1908 et 1909, l'Olympique retrouva le championnat de France en 1910. Écartant Besançon (4-1), les Lyonnais s'inclinèrent 5-0 face au Stade Helvétique de Marseille, en quarts de finale. Devenu le « Lyon Olympique Universitaire », le club fut encore présent en championnat de France USFSA en 1913 et se retrouva éliminé en huitièmes de finale (5-1) par Saint-Raphaël. Le « LOU » évoluait alors au stade des Iris en attendant la fin de la construction du Stade de Gerland, finalement achevé en 1920.

Le LOU rejoint les rangs professionnels en 1942 et enlèva, avec deux points d'avance sur Bordeaux, la poule sud du dernier championnat de la guerre. La finale nationale du championnat opposait Lyon à Rouen. Les Rouennais s'imposèrent 4-0. Malgré tout, ces bons résultats récoltés en temps de guerre permirent au LOU d'être promu en Division 1 à la reprise de la saison 1945-1946. Le club était présidé alors par Félix Louot, et ut malheureusement relégué en D2 à la fin de cette saison.

En mai 1950, des dissensions fortes entre les sections football et rugby du LOU provoquèrent une scission entre ces deux sports et vit le départ de la section de football, pros et amateurs, du cluble 3 août 1950, sous l'impulsion du Docteur Trillat et de Groslevin, Vitalis, Marceau, Carrel, Daurensan et Maillet. Cette dernière opta alors pour un nouveau nom : l'«Olympique de Lyon et du Rhône». En réplique à cette guerre football-rugby, le LOU a été interdit de football pendant deux saisons par la Ligue du Lyonnais et après cette peine purgée, le LOU refonda une nouvelle section de football en son sein, créant à l'occasion un nouveau club, avec nouveau numéro d'affiliation à la FFF, qui existe aujourd'hui encore. Cette section du LOU 2ème du nom, ne peut en aucun cas prétendre récupérer l'histoire et les honneurs glanés par son prédécesseur.[réf. nécessaire]

« Lyon a été fondé en 1950, c'est donc un jeune club » est l'une des grandes citations classiques de l'historiographie du foot français interprétée par quelques pseudos-fanatiques de sport des villes rivales au club. Certains évoquent même un dépôt de bilan pour expliquer la fracture de 1950, mais aucun indice, ni de traces, n'est là pour confirmer cette hypothèse. On considérera que la fondation de "L'Olympique lyonnais" n'est autre que la continuité de la section de football du LOU.

Souvent placé, jamais gagnant [modifier]

L'OL fit donc son entrée en D1 en 1951 pour redescendre aussitôt en D2 en 1952 après s'être classé à l'avant-dernière place. Promus en 1954, ils débutèrent alors par une longue présence en première division ponctuée par deux périodes fastes. Ils découvrirent l'Europe grâce à la Coupe des villes de foire en 1958 à San Siro avec une élimination (0-7 ; 1-1) face à l'Inter de Milan. Puis en 1960 (cette compétition se jouait alors sur 2 ans), ils sont battus (2-4 ; 2-1) par Hambourg et enfin en 1961 éliminés (4-2 ; 2-5) par Sheffield Wednesday.

Après s'être classé entre la 8ème et la 16ème place du championnat pendant près de 10 ans, ils atteignirent la 5ème en 1963 et même la 4ème place en 1964. C'est surtout cette année-là qu'ils ont remporté leur premier trophée. En effet, après avoir échoué l'année précédente en finale face à l'AS Monaco auteur du doublé Coupe-Championnat, ils purent glaner la Coupe de France 1964 en battant en finale les Girondins de Bordeaux 2-0 après avoir éliminé le RC Lens en quarts et le Valenciennes FC en demi-finales. Cette même année, finaliste de la précédente Coupe de France — et étant donné que le vainqueur, l'AS Monaco, participait à la Coupe d'Europe des clubs Champions —, l'OL fait ses grands débuts en Coupe des Coupes. L'arrivée du club rhodanien dans la compétition est fracassante : Après avoir éliminé Boldklubben 1913 (3-1 ; 3-1), ils éliminent l'Olympiakos (4-2 ; 1-2) puis réussissent l'exploit en quarts face à Hambourg qu'ils éliminèrent (1-1 ; 2-0). En demi-finale, ils sont tenus en échec à Gerland par le Sporting Club du Portugal 0-0 avant d'aller chercher un match nul 1-1 à Lisbonne. Mais, malheureusement pour les Lyonnais, la règle du but à l'extérieur ne sera mise en application que quelques années plus tard (pour l'anecdote, dans les archives de l'UEFA [3], il est indiqué que l'OL est qualifié en finale grâce au but marqué à l'extérieur). Ils doivent donc jouer un match d'appui à Madrid où ils sont défaits 0-1, laissant les Portugais aller en finale, qu'ils gagnèrent face au MTK Budapest. Cette première épopée européenne ne se reproduisit pas lors de l'édition suivante où ils furent éliminés dès le premier tour par le FC Porto (0-3 ; 0-1).

Sixièmes en 1965, ils retrouvèrent les années suivantes la monotonie du milieu de classement. Monotonie qui sera pourtant troublée en 1967 par une deuxième victoire en Coupe de France (3-1 face à Sochaux en finale). Cette victoire leur permirent de retrouver la Coupe des Coupes dans laquelle ils éliminèrent Aris Bonnevoie (3-0 ; 2-1) puis Tottenham (1-0 ; 3-4) avant de tomber sur Hambourg en quarts de finale (0-2 ; 2-0 ; 0-2 en match d'appui).

Un nouveau cycle démarra durant les années 1970 où ils atteignirent à nouveau la 5ème place en 1972 et se placèrent pour la première fois de leur histoire sur le podium du championnat de France en 1974 et 1975, loin derrière l'ASSE, champion de France ces deux années-là. Ils remportèrent l'édition 1973 de la Coupe de France en battant en finale le FC Nantes 2 buts à 1, les empêchant du même coup de réaliser le doublé Coupe-Championnat qui leur était promis. Malgré ces coups d'éclat, jamais l'OL ne fut en mesure de se mêler à la lutte pour le titre même si le club commencait dès lors, à devenir un habitué de la Coupe des Coupes dont il atteignirent encore les huitièmes de finales en 1974.

À la fin des années 1970, le cycle s'achevait et l'équipe retrouva les dernières places du championnat avec notamment une 18ème place en 1980 qui lui fit frôler la relégation. Un barrage victorieux face à Avignon (0-2 ; 6-0) la sauva, pour un temps, la situation, juste un an avant que l'ASSE ne remporte son 10ème titre de champion. Jamais, la célèbre phrase prononcée par le président des Verts dans les années 1970, Roger Rocher :« En matière de football, Lyon a toujours été la banlieue de Saint-Étienne » n'a eu alors autant de sens qu'à cet instant. Finalement relégués à l'issue de la saison 1982-1983, les Lyonnais, qui détenaient alors le record de la plus longue période consécutive dans l'élite avec 29 saisons, commencèrent un long purgatoire de 6 ans.

Au sommet de la Ligue 1 [modifier]

En 1987, après quelques années passées en D2, Jean-Michel Aulas s'investit dans le club et en prit la direction. Il ambitionnait une « qualification européenne dans les 5 ans ». Bien qu'il surprit en débarquant presque d'entrée l'entraîneur Robert Nouzaret, l'un des symboles fort et populaire du club, la remontée en D1 est acquise dès 1989, grâce entre autres au coaching gagnant de Raymond Domenech, aujourd'hui sélectionneur de l'équipe de France.

La qualification européenne annoncée fut même atteinte après seulement deux saisons dans l'élite, le président Aulas réalisant alors le pari de l'« Europe en cinq ans » qu'il avait lancé à son arrivée. Mais le club frôla la relégation la saison suivante.

En 1995, l'OL revient sur le podium, finissant 2ème derrière des Nantais intouchables cette année-là, grâce à une génération de joueurs formés au club, dont le symbole eu été l'excellent attaquant Florian Maurice. L'année suivante, le club prit goût à la Coupe d'Europe, éliminant notamment la Lazio de Rome.

Il retrouva les compétitions continentales en 1997, par la petite porte, celle de l'Intertoto.

L'équipe se renforçait après chaque saisons et montait en puissance : 6ème en 1997-1998, puis 3ème en 1998/1999 et 1999/2000.

En 1999, l'apport de 15 millions d'euros du groupe Pathé qui devint actionnaire à hauteur de 34 % permit à Jean-Michel Aulas de faire entrer son club dans une nouvelle ère en s'offrant un attaquant de renom : Sonny Anderson. Le buteur brésilien en provenance du FC Barcelone deviendra l'un des joueurs les plus emblématiques de l'histoire de l'Olympique lyonnais. En 2000/2001 le club termine 2ème derrière le FC Nantes (comme 6 ans auparavant), mais remporte la Coupe de la Ligue face à l'AS Monaco.

C'est en 2002 que l'Olympique lyonnais finit par obtenir son premier titre de Champion de France. Remportant le titre lors de la dernière journée. l'OL était second du championnat, deux points derrière le RC Lens, qu'il accueillit à Gerland dans une ambiance surchauffée et le bat 3-1. Commenca alors une série inédite de sept titres consécutifs encore en cours à l'heure actuelle.

Désormais, l'Olympique lyonnais revendique donc une l'ampleur, tant sur le plan national que sur la scène européenne (même si jusqu'à aujourd'hui le club n'a jamais passé le cap des quarts de finale de la Ligue des Champions). Le club gonflant saison par saison son budget, vint s'installer dans le G14 (lobby des 18 clubs les plus importants d'Europe), avec son président comme figure de proue, devant les Laporta et consorts.

Entre le titre de 2002 et celui de 2007, l'effectif a été renouvelé à 80 % et la succession (sans limogeage) des trois entraîneurs que sont Jacques Santini, Paul Le Guen et Gérard Houllier n'a pas remis en cause la stabilité garantie par le duo Bernard Lacombe / Jean-Michel Aulas qui explique en grande partie le succès actuel du club.

L'autobus du club en février 2007 qui arbore les couleurs de ses 5 titres nationaux
L'autobus du club en février 2007 qui arbore les couleurs de ses 5 titres nationaux

Dans le championnat 2006, l'OL chuta pourtant à Rennes, le 4 novembre, ce qui l'empêcha de glaner un nouveau record, à savoir gagner 10 matchs de suite dans le championnat de France, record codétenu par l'AS Saint-Etienne, les Girondins de Bordeaux et le Stade de Reims, trois clubs au passé glorieux. Lyon bat le record de la meilleure entame de saison : 16 victoires, 2 nuls pour 1 défaite.

Le 6 mars 2007, l'OL se fait éliminer en 1/8 de finale de la Ligue des champions par l'AS Rome, ce qui constitue son plus mauvais résultat depuis 4 ans et le 31 mars, l'OL perd la finale de la Coupe de la ligue contre Bordeaux au terme d'un match haletant, dominé par l'OL de bout en bout et malheureusement victime à la dernière minute, d'une tête d'un girondin sur corner.

Dès le 21 avril de la même année, l'OL fut champion de France, 5 matchs avant la fin de la saison. Le club égalait son record du plus grand nombre de victoires à l'extérieur, mais avec toutefois - suite à une fin de saison en roue libre - un nombre total de points inférieur (-3) par rapport à son précédent record.


Records en Ligue 1 [modifier]

Record général :

  • Meilleure affluence sur un match - Saison 2007-08, 77 840 spectateurs pour le match de la 32ème journée, Lille OSC - OL (0-1) au Stade de France[4]

Clubs :

  • Plus grand nombre de titres consécutifs - 7 titres, de 2002 à 2008
  • Plus grand nombre de points sur une saison avec 3 pts pour une victoire - Saison 2005-06, 84 points
  • Plus grand nombre de points d'écart établi avec le vice-champion (3 pts pour une victoire) - Saison 2006-07, 17 points
  • Plus grand nombre de points à la trêve (3 pts pour une victoire) - Saison 2006-07, 50 points
  • Plus grand nombre de victoires à l'extérieur - Saisons 2005-06 et 2006-07 avec Saint-Étienne (1969-70) et Marseille (1971-72), 12 victoires
  • Plus grand nombre de but dans une saison (2008) : 74 buts.

Joueurs :

  • Joueurs les plus titrés consécutivement - Grégory Coupet, Juninho et Sidney Govou avec l'Olympique lyonnais, 7 fois champions (2002, 2003, 2004, 2005, 2006, 2007, 2008)

Palmarès [modifier]

National [modifier]

Champion (7) - 2002, 2003, 2004, 2005, 2006, 2007, 2008
Vice-champion (2) - 1995, 2001
Vainqueur (7) - 1973, 2002, 2003, 2004, 2005, 2006, 2007
Finaliste (2) - 1967, 2008
Champion (3) - 1951, 1954, 1989
Vainqueur (4) - 1964, 1967, 1973, 2008
Finaliste (3) - 1963, 1971, 1976
Vainqueur (1) - 2001
Finaliste (2) - 1996, 2007
  • Autres Championnats
Champion Zone Sud (1) - 1945[5]
Champion USFSA Lyonnais (4) - 1906, 1907, 1910, 1913[6]

International [modifier]

Distinctions et trophées divers [modifier]

Féminines [modifier]

Champion (6) - 1991, 1993, 1995, 1998, 2007, 2008
Vice-champion (4) - 1985, 1994, 2003, 2004
Vainqueur (3) - 2003, 2004, 2008
Finaliste (4) - 2002, 2005, 2006, 2007
Demi-finaliste - 2008

Jeunes et réserves [modifier]

  • Olympique Lyonnais 3
    • Championnat de Division d'Honneur
      • Vainqueur (1) - 2002

Bilan saison par saison [modifier]

Voir Bilan saison par saison de l'Olympique lyonnais. La page Historique de l'Olympique lyonnais en coupes de football donne le détails des résultats pour les matchs de coupes nationales ou d'Europe.

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Les entraîneurs depuis 1950 [modifier]

Les présidents depuis 1950 [modifier]

Le club aujourd'hui [modifier]

Infrastructures [modifier]

L'OL se développe depuis plusieurs années sous la houlette de son président. Maintenant, l'OL c'est OL Phone, OL Voyages, OL Conduite, OL café, OL Gourmet, OL Boissons, OL Music, OL Coiffure, OL Taxi. On peut ajouter à cela, un restaurant et un partenariat avec le club de boule lyonnaise CRO LYON.

Le stade actuel est le stade de Gerland. Inauguré en mai 1926, il fut rénové en 1984 à l'occasion de l'Euro de football, ainsi qu'en 1998 à l'occasion de la coupe du monde de football. Avec une capacité déclarée de 41 044 places (mais une capacité réelle de 39 514 à 41 044 pour les matchs de football, suivant l'emplacement des supporters adverses), le taux de remplissage a été, pour la saison 2005/2006, de 96,11 % en championnat et de 100 % en Ligue des Champions.

Le centre d'entraînement actuel du club est Tola Vologe. On y retrouve aussi le siège du club et la billetterie.

Projet : En 2007, Jean-Michel Aulas, président de l'OL, a lancé le projet OL Land, destiné à remplacer le stade de Gerland (propriété de la ville de Lyon) par un nouveau stade privé de 60 000 places, associé à un complexe commercial accueillant un musée, un centre de sport, un centre de fitness, une piscine, un centre commercial, le centre d'entrainement et un petit parking. Ce complexe devrait voir le jour d'ici 2012-2013 à Décines à côté de Lyon. Le projet est actuellement en ballotage défavorable : les élus "se font tirer l'oreille" pour créer les infrastructures publiques de transport et de desserte de cette construction privée; la population locale craint les nuisances liées à cette nouvelle activité. Pour plus d'informations voir le site de l'OL.

Les supporters [modifier]

Le club compte aussi plusieurs groupes de supporters au statut plus ou moins officiel. Les plus important sont ceux des :

  • « Bad Gones », créé en 1987, qui occupe le Virage Nord Inférieur du stade de Gerland. L'Olympique lyonnais était alors un modeste club de D2. En 2007, contre Strasbourg, ce groupe a fêté ses 20 ans d'existence. C'est le « cœur » du stade et c'est à lui, ainsi qu'à la
  • « Cosa Nostra Lyon » au Virage Sud Inférieur, que Gerland doit son ambiance. Le groupe de la « Cosa Nostra Lyon » a vu le jour en 2007 et est issue du regroupement de deux groupes qu'étaient les « Lugdunum's », créé en 1993, alors que l'OL végétait en milieu de classement de Division 1, et les « Nucléo Ultra », créé en 2000, qui occupaient déjà le Virage Sud, afin de donner plus d'homogénéité à la tribune.

Il existe également d'autres associations :

  • « Rouge et Bleu » de la tribune Jean Bouin,
  • « Gastrogones » de la tribune Jean Bouin,
  • « O'Elles Club » de la tribune Jean Jaurès.
  • « Handi-Sup-OL », créés en 2005, placés aux places handicapées de la tribune Jean Bouin.

Six autres groupes sont répartis de part et d'autre du stade. Il s'agit des

  • « Hex@gones » créés en 2000, qui regroupent les supporters résidant loin de Lyon
  • « OL Muséum », créés en 2006, association de supporters collectionnant des produits estampillés "OL"[7], des
  • « Gones 58 », créés en 2006, qui regroupent les supporters du département de la Nièvre (58), des
  • « Gones 26 », créés en 2007, qui regroupent les supporters du département de la Drôme (26), des
  • « Septimagones », créés en 2008, implantés à Hérépian (Hérault, 34), dont le nom vient de la contraction de Septimanie, (ancienne province désignant le Languedoc-Roussillon) et de Gones, et des
  • « Loups Marchois », créé en 2008, qui regroupent les supporters du département de la Creuse (23).
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Sponsors [modifier]

L'Olympique lyonnais est équipé par l'équipementier Umbro et sponsorisé sur ses maillots, depuis la saison 2006-07 et pour les cinq saisons suivantes, par le groupe hôtelier Accor qui est le principal sponsor du club. Ainsi, le club porte sur ses maillots les marques Novotel pour tous les matchs de Ligue des Champions et de Ligue 1 à domicile, et Ticket restaurant pour ses matches de Ligue 1 à l'extérieur. Lors des matches en Coupe de la Ligue, les sponsors Speedy et Triangle sont imposés par la LFP; tandis que lors des matchs en Coupe de France, ce sont SFR, Caisse d'Epargne et Pitch qui sont imposés en tant que sponsors maillot par la FFF.
Accor et Umbro paient pour chaque saison 9 et 6 millions d'euros chacun de participation à l'Olympique lyonnais[12].

Introduction en bourse [modifier]

Le 26 janvier 2007 le club a précisé les modalités de son introduction en bourse. L'action OL Groupe est proposée entre 21 et 24,40 euros dont la part pour les petits porteurs est de dix pour cent. Depuis le vendredi 8 février 2007 l'Olympique lyonnais est entré en bourse. L'action OL Groupe (code OLG) est définitivement proposée à 24 euros. Conformément à la loi du 30 décembre 2006 (article 68)[13], l'ouverture du capital intègre un projet de nouveau stade détenu en propre par le club. Quinze mois après son entrée en bourse, l'action a perdu 12% de sa valeur (21,20 euros au 28 mai 2008) quand le CAC 40 perdait 12,25%.

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